Tous les noms avaient été cités, et c'est, si j'ose dire, un vieux de la vieille, qu'on avait presque oublié dans ce contexte, qui a été élu cette année par l'Académie suédoise pour le prix Nobel de littérature: Mario Vargas Llosa, 74 ans, Péruvien (naturalisé espagnol d'après Wikipédia).
Je ne vous en dirai guère plus pour l'instant, il faut que je me rafraîchisse la mémoire, mais ce que j'ai lu de lui (il y a longtemps) reste marqué du sceau d'une écriture ambitieuse, brassant personnages et thèmes dans un courant vif.
Comme toujours, le choix est motivé, cette fois «pour sa cartographie des structures du pouvoir et ses images aiguisées de la résistance de l’individu, de sa révolte et de son échec».
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*Tendres regards, doux sourires, mains qui se cherchent. Les pensées
s’accordent, les voix se répondent musicalement. Échanges sincères,
profonds, espièg...
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