Paul Colize, né en 1953 à Bruxelles, a été lecteur de romans noirs avant
d’en écrire. Son premier polar raconte comment quelques collègues et lui ont manœuvré
pour quitter une entreprise. Il commence par s’autoéditer au début des années
2000, est accueilli par les Editions Krakoen pour La troisième vague (2009), Le
baiser de l’ombre (2010) et Le valet
de cœur (2011). Il prépare un roman dont le héros est un avocat spécialisé
en divorces.
Rock
et manipulation dans Back up. Entre les années 60, où un groupe enregistre à Berlin un
disque qui ne sortira jamais, et 2010, où un inconnu est renversé par une
voiture à Bruxelles près de la gare du Midi avant de sombrer dans le mutisme, plusieurs
enquêtes superposées rendent, jusqu’à la fin, le mystère plus intrigant. Elles
cherchent pourtant la même chose.
Des chapitres brefs hachent le récit en tranches fines, sur deux lignes narratives qui convergent jusqu’à ne plus en faire qu’une. La bande son, très inspirée par la programmation de Classic 21 (une radio belge aussi), est somptueuse. Et on ne s’étonne pas trop de voir un batteur, celui du back up du fameux enregistrement (il avait remplacé un musicien absent), improviser un concert avec Eric Clapton.
Des chapitres brefs hachent le récit en tranches fines, sur deux lignes narratives qui convergent jusqu’à ne plus en faire qu’une. La bande son, très inspirée par la programmation de Classic 21 (une radio belge aussi), est somptueuse. Et on ne s’étonne pas trop de voir un batteur, celui du back up du fameux enregistrement (il avait remplacé un musicien absent), improviser un concert avec Eric Clapton.
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