Jacques Ravenne et Eric Giacometti, l’un franc-maçon, l’autre pas, forment ensemble un atypique duo d’auteurs. De leurs points de vue divergents, ils nourrissent les aventures du commissaire Marcas dont Lux tenebrae est la sixième enquête. Farcie de symboles, remontant dans le passé jusqu’à Akhenaton, ouverte sur l’expérience de mort imminente, elle conduit le policier aux portes d’une connaissance inédite et dangereuse. Vécue avec sa propre culture maçonne, dégagée des privilèges de réseaux souvent dénoncés comme tels quand la fraternité n’est utilisée que pour tirer quelques avantages matériels de l’appartenance à une loge. Marcas n’est pas de ceux-là…
La perquisition qu’il doit mener à Avignon pour démanteler un trafic supposé d’œuvres d’art antique lui fait découvrir une face inédite d’une croyance plongeant aux sources de l’Egypte ancienne et aux illuminations d’un pharaon amoureux de sa sœur. Un plan gardé secret donnerait accès à un lieu réservé à quelques-uns où, entre la vie et la mort, ils entreverraient la possibilité d’une hypothétique éternité bienheureuse.
L’habileté des auteurs et la légitime fascination éprouvée par de simples humains comme nous concourent à faire de Lux tenebrae un thriller dont les pages se tournent aussi vite qu’on arrive à les lire. On devine là une énigme opaque dont la clef nous permettra peut-être de résoudre quelque mystère… A défaut, il suffit d’y croire le temps de ces quatre cents pages pour éprouver un vif plaisir au rythme soutenu sur lequel s’enchaînent les événements, rebondissant souvent dans des directions inattendues.
L’ésotérisme est un excellent fonds de commerce sur lequel, malgré son âge canonique, la poussière ne repose jamais longtemps. D’Indiana Jones à Robert Langdon, le personnage de Dan Brown, les héros de pellicule et de papier n’en finissent pas de lui redonner l’aspect du neuf. Giacometti et Ravenne participent du même courant avec une intelligence qui ravit – dans tous les sens du mot.
La perquisition qu’il doit mener à Avignon pour démanteler un trafic supposé d’œuvres d’art antique lui fait découvrir une face inédite d’une croyance plongeant aux sources de l’Egypte ancienne et aux illuminations d’un pharaon amoureux de sa sœur. Un plan gardé secret donnerait accès à un lieu réservé à quelques-uns où, entre la vie et la mort, ils entreverraient la possibilité d’une hypothétique éternité bienheureuse.
L’habileté des auteurs et la légitime fascination éprouvée par de simples humains comme nous concourent à faire de Lux tenebrae un thriller dont les pages se tournent aussi vite qu’on arrive à les lire. On devine là une énigme opaque dont la clef nous permettra peut-être de résoudre quelque mystère… A défaut, il suffit d’y croire le temps de ces quatre cents pages pour éprouver un vif plaisir au rythme soutenu sur lequel s’enchaînent les événements, rebondissant souvent dans des directions inattendues.
L’ésotérisme est un excellent fonds de commerce sur lequel, malgré son âge canonique, la poussière ne repose jamais longtemps. D’Indiana Jones à Robert Langdon, le personnage de Dan Brown, les héros de pellicule et de papier n’en finissent pas de lui redonner l’aspect du neuf. Giacometti et Ravenne participent du même courant avec une intelligence qui ravit – dans tous les sens du mot.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire