jeudi 21 octobre 2010

Wallender, dernière enquête

Aujourd'hui, tout le monde parle de Henning Mankell et de son nouveau roman. Enfin, tout le monde, c'est peut-être excessif. Mais c'est l'impression que j'en ai. Le jour même de son arrivée en librairie, L'homme inquiet fait l'objet de grands articles dans Libération et dans Le Monde. L'événement est en effet exceptionnel: Wallender, personnage devenu familier à tous ceux qui l'ont côtoyé dans les livres, tire sa révérence.
Comment?
Je ne le sais pas encore, et je crains, si je lis les articles, de le découvrir, ou au moins d'être mis sur l'une ou l'autre piste qui me gâcherait le plaisir de la surprise - plaisir mélangé de la tristesse, déjà présente, de voir s'éloigner une silhouette qui m'a souvent accompagné dans une sorte de présence amicale.
Alors, au lieu de lire les articles, voilà: j'ai commencé le roman. Cela va durer plus longtemps, mais c'est le principe même du roman policier. On ne connaît la clé de l'énigme qu'à la fin...

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