Le basculement ne se produit pas toujours au même moment mais il y a forcément une période où, quelque part en juillet ou août, mon premier semestre de lectures s'achève pour faire place à la rentrée littéraire.
Pratiquement, les choses se passent ainsi: je ne conserve que quelques ouvrages papier parmi ceux qui sont parus entre janvier et juin, tous les autres partent en camionnette vers la bibliothèque de l'Institut français; dans ma liseuse, j'efface les livres publiés dans la même période. Le transfert physique s'est fait début juillet, et c'est ce matin que j'ai supprimé plus de 700 fichiers de ma liseuse. Il en reste quand même encore 190, dans lesquels je me trouve maintenant - depuis jeudi après-midi, pour être précis dans la chronologie...
Cela ne signifie pas que ces 700 livres électroniques - et les 4 ou 500 en papier - ont disparu à tout jamais. Je ne les ai pas tous lus, il y en a un certain nombre que je regrette de n'avoir pas eu le temps de découvrir. Je vais donc guetter, à partir de l'année prochaine, leur réédition au format de poche et ils seront nombreux à revenir dans ma liseuse, ou sur les planches de la petite étagère derrière moi si je dois les récupérer à la bibliothèque.
Le dernier roman que j'ai chroniqué dans Le Soir - édition parue ce matin - était un de ceux dont j'aurais regretté de ne pas parler, pour de multiples raisons: La ville où les morts dansent toute leur vie, de Pierre Pelot. Celui-là, au moins, ne devra pas attendre une réédition en poche...
Quant à la rentrée, laissez-moi le temps de lire encore quelques romans (je ne suis que dans le huitième) et je vous en dirai davantage.
Bonnes lectures Pierre.
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