Son roman, Mécaniques du chaos, avait surgi dans la dernière sélection du Grand Prix du roman de l'Académie française. Et Daniel Rondeau refait donc un tour sous les projecteurs...
Malheureusement pour moi (et peut-être pour vous), c'était aussi le seul des quatre romans finalistes que je n'avais pas lu. Je ne vous en dirai donc rien de particulier, sinon que, dans le cas de cet écrivain qui fut ambassadeur (à Malte, où les journalistes vivent dangereusement), voici une récompense qui sent bon le marchepied vers un siège à l'Académie française.
Il a le profil parfait pour succéder à un des derniers disparus.
Mais lequel?
Et, d'ailleurs, n'est-il pas déjà candidat? (J'avoue n'avoir pas vérifié.)
Il le fut, en tout cas, deux fois si je n'oublie rien, sans réussite. Au siège de Pierre-Jean Rémy en 2011 et à celui de René Girard en 2016.
Daniel Rondeau a de la suite dans les idées, au moins depuis que cette même Académie française lui avait décerné, en 1998, le Grand Prix de littérature Paul Morand. On vient peut-être de lui dire qu'une nouvelle candidature serait, cette fois, plus heureuse...
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