Le Figaro publiait hier un article très documenté sur Les secrets de la suite du "Da Vinci Code". Les techniques les plus éprouvées du marketing ont été mises en œuvre pour assurer à The Lost Symbol un lancement digne d'un nouveau volume de Harry Potter. Ouverture des librairies à minuit, ou plutôt à 0 heure 1 minute le mardi 15 septembre, site Internet et tout ce qui tourne autour, mise en haleine des nombreux lecteurs du Da Vinci Code dont les 82 millions d'exemplaires vendus ont de quoi nourrir l'attente d'une suite. Imprimée déjà, pour les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, à plus de sept millions d'exemplaires.
Pour rendre le lancement parfait, il fallait aussi cultiver le secret autour de ce nouveau roman. Des mesures rigoureuses ont été prises pour empêcher la moindre fuite susceptible de déflorer le mystère de cette nouvelle énigme. Apparemment, cela a plutôt bien fonctionné. Il semblait impossible de savoir quoi que ce soit du livre avant sa mise en vente, sinon quelques éléments lâchés au compte-goutte par les éditeurs, en particulier avec la prépublication des premières pages.
Mais, une fois l'ouvrage disponible, il devenait difficile de freiner les petits malins qui avaient décidé de le faire circuler gratuitement. Sur les réseaux P2P, il n'a pas fallu attendre longtemps avant de trouver une édition pirate du livre. Hier, vers 20 heures (heure française), The Lost Symbol a surgi brusquement. Onze heures plus tard, il a déjà été téléchargé 4500 fois. Une paille, sans doute, par rapport au tirage initial. Mais cette paille montre bien que le livre n'est pas plus à l'abri du piratage que la musique ou le cinéma. La vente de fichiers électroniques, une autre forme (légale) de circulation des œuvres, simplifie évidemment la tâche des pirates. Il suffit de briser l'éventuel code de protection du fichier pour le lâcher dans la nature.
Pareille (més)aventure arrivera peut-être aussi à la version française, Le symbole perdu, sur laquelle travaillent actuellement deux traducteurs, avec pour mission de remettre leur copie à temps pour une sortie prévue le 27 novembre. D'ici là, le livre est disponible en... précommande.
Pour rendre le lancement parfait, il fallait aussi cultiver le secret autour de ce nouveau roman. Des mesures rigoureuses ont été prises pour empêcher la moindre fuite susceptible de déflorer le mystère de cette nouvelle énigme. Apparemment, cela a plutôt bien fonctionné. Il semblait impossible de savoir quoi que ce soit du livre avant sa mise en vente, sinon quelques éléments lâchés au compte-goutte par les éditeurs, en particulier avec la prépublication des premières pages.
Mais, une fois l'ouvrage disponible, il devenait difficile de freiner les petits malins qui avaient décidé de le faire circuler gratuitement. Sur les réseaux P2P, il n'a pas fallu attendre longtemps avant de trouver une édition pirate du livre. Hier, vers 20 heures (heure française), The Lost Symbol a surgi brusquement. Onze heures plus tard, il a déjà été téléchargé 4500 fois. Une paille, sans doute, par rapport au tirage initial. Mais cette paille montre bien que le livre n'est pas plus à l'abri du piratage que la musique ou le cinéma. La vente de fichiers électroniques, une autre forme (légale) de circulation des œuvres, simplifie évidemment la tâche des pirates. Il suffit de briser l'éventuel code de protection du fichier pour le lâcher dans la nature.
Pareille (més)aventure arrivera peut-être aussi à la version française, Le symbole perdu, sur laquelle travaillent actuellement deux traducteurs, avec pour mission de remettre leur copie à temps pour une sortie prévue le 27 novembre. D'ici là, le livre est disponible en... précommande.
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