On en a parlé toute la semaine, on va en parler toute l'année... La mort d'Albert Camus, il y a cinquante ans et quelques jours, a provoqué une (sur)abondance de publications et d'hommages. Même un téléfilm assez médiocre.
En général, la place prise par ce genre d'hommage m'irrite. Cette fois-ci, pourtant, j'y ai participé sans déplaisir. J'ai retrouvé le souvenir des années de la fin d'adolescence, quand je m'émerveillais de lire Camus - tout Camus, ou du moins ce qui était disponible à l'époque. Ses trois romans, son théâtre, les essais, les articles aussi - trois volumes d'Actuelles qui ont peut-être joué un rôle dans le journaliste que je suis devenu. La pensée de l'auteur me séduisait. La place du soleil dans son œuvre y introduisait une sensualité à laquelle je n'étais pas indifférent.
Je vois bien que certains pinaillent et lui contestent la place qu'il occupe dans mon panthéon personnel (en ce qui me concerne, pas besoin de procéder à une translation physique de ses restes, cela n'ajouterait rien à mon admiration).
Mais je me dis aussi que toutes les pages lues à l'occasion du cinquantenaire de sa mort peuvent conduire vers lui de nouveaux lecteurs, ceux qui ont aujourd'hui l'âge que j'avais il y a un certain temps, et provoquer encore quelques éblouissements. L'idée me plaît. Il même possible maintenant de commencer par son premier roman, inachevé, La mort heureuse, publié seulement en 1971 et réédité en poche ces jours-ci.
Après tout, j'ai bien attendu, allez savoir pourquoi, la mort de Lhasa pour découvrir cette chanteuse que j'écoute maintenant en boucle. Je ne dois pas être le seul, à en juger par la place qu'elle occupe actuellement, avec ses trois disques, dans les meilleures ventes de musique chez Amazon en France. Ils sont premier, quatrième et cinquième. Un peu tardif, certes. Mais c'est bien, d'avoir encore des choses à découvrir...
En général, la place prise par ce genre d'hommage m'irrite. Cette fois-ci, pourtant, j'y ai participé sans déplaisir. J'ai retrouvé le souvenir des années de la fin d'adolescence, quand je m'émerveillais de lire Camus - tout Camus, ou du moins ce qui était disponible à l'époque. Ses trois romans, son théâtre, les essais, les articles aussi - trois volumes d'Actuelles qui ont peut-être joué un rôle dans le journaliste que je suis devenu. La pensée de l'auteur me séduisait. La place du soleil dans son œuvre y introduisait une sensualité à laquelle je n'étais pas indifférent.
Je vois bien que certains pinaillent et lui contestent la place qu'il occupe dans mon panthéon personnel (en ce qui me concerne, pas besoin de procéder à une translation physique de ses restes, cela n'ajouterait rien à mon admiration).
Mais je me dis aussi que toutes les pages lues à l'occasion du cinquantenaire de sa mort peuvent conduire vers lui de nouveaux lecteurs, ceux qui ont aujourd'hui l'âge que j'avais il y a un certain temps, et provoquer encore quelques éblouissements. L'idée me plaît. Il même possible maintenant de commencer par son premier roman, inachevé, La mort heureuse, publié seulement en 1971 et réédité en poche ces jours-ci.
Après tout, j'ai bien attendu, allez savoir pourquoi, la mort de Lhasa pour découvrir cette chanteuse que j'écoute maintenant en boucle. Je ne dois pas être le seul, à en juger par la place qu'elle occupe actuellement, avec ses trois disques, dans les meilleures ventes de musique chez Amazon en France. Ils sont premier, quatrième et cinquième. Un peu tardif, certes. Mais c'est bien, d'avoir encore des choses à découvrir...
yeah viva communissme, résistance, révolution, raggae, rasta, rock, métal, che guevara
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