Sous la présidence éclairée, on l'espère, de Frédéric Beigbeder, le Prix de Flore a élagué sa première sélection, ne gardant que la moitié des titres, cinq sur dix, dans la deuxième. On ne parlera donc plus, sauf ultime sursaut, de Samuel Benchetrit, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Elitza Gueorguieva, Arnaud Sagnard ou de Philippe Vasset le 8 novembre, date de la proclamation du résultat final.
Et voici ceux qui restent.
- Boris Bergmann, Déserteur (Calmann-Lévy)
- Cédric Gras, Anthracite (Stock)
- Joann Sfar, Comment tu parles de ton père (Albin Michel)
- Leïla Slimani, Une chanson douce (Gallimard)
- Nina Yargekov, Double nationalité (P.O.L.)
Leïla Slimani se trouve toujours, au moment d'écrire ceci, dans quatre autres sélections (Goncourt, Renaudot, Femina et Interallié), Joann Sfar dans une (Décembre), comme Boris Bergmann (Wepler). Cédric Gras et Nina Yargekov ont l'élégance de se contenter de leur sélection au Flore.
Rendez-vous tout à l'heure, je dis cela pour ceux qui suivent les choses de près, avec la deuxième sélection du Goncourt.
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