Même en direct, avec je ne sais combien de personnes qui lisent par-dessus l'épaule, l'écriture reste un exercice solitaire. Alors, Nicolas Ancion, probablement fatigué à cette heure-ci (on le serait à moins), lâche de temps en temps le fil de son roman, poste quelques phrases sur Facebook, 140 signes sur Twitter, pratique même, dans son manuscrit, l'incise à destination immédiate de ceux qui le suivent.
A la fin du chapitre 7, on lit ceci: "Moi aussi, tout compte fait. Je voulais marquer une pause ici et avaler un café mais je m'évaderai plus tard. Il est temps de passer au chapitre suivant. Pour ceux qui en ont envie ;-)"
Outre l'allusion à son évasion manquée, il semble vouloir, lui aussi, savoir ce qui se passe à ce moment de son roman, comme si les événements l'avaient dépassé lors de la conférence de presse qu'il relate.
Il reste à renouer les fils qui se sont un peu distendus. Comme il vient de me l'écrire (alors qu'il n'a pas encore lu cette note): "encore pas mal de route à faire, il reste moins de six heures pour arranger tout ça... A l'attaque du ch8".
Bon, on n'a pas fini...
A la fin du chapitre 7, on lit ceci: "Moi aussi, tout compte fait. Je voulais marquer une pause ici et avaler un café mais je m'évaderai plus tard. Il est temps de passer au chapitre suivant. Pour ceux qui en ont envie ;-)"
Outre l'allusion à son évasion manquée, il semble vouloir, lui aussi, savoir ce qui se passe à ce moment de son roman, comme si les événements l'avaient dépassé lors de la conférence de presse qu'il relate.
Il reste à renouer les fils qui se sont un peu distendus. Comme il vient de me l'écrire (alors qu'il n'a pas encore lu cette note): "encore pas mal de route à faire, il reste moins de six heures pour arranger tout ça... A l'attaque du ch8".
Bon, on n'a pas fini...
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