Je lisais tout à l'heure, comme chaque semaine, Les Inrockuptibles. Dans les pages consacrées aux livres, je tombe sur ceci:
Bien. J'ai en effet écrit ce mot dans mon article sur une enfance de Jésus. C'en est même le dernier mot. Mais il y en a 536 autres, bien nécessaires pour essayer d'approcher ce que j'ai trouvé dans ce livre... éblouissant (d'accord avec moi-même). Je sais que la publicité ne fonctionne pas sur base de textes de 3216 signes. Il n'empêche que, passé un bref, très bref moment de satisfaction (tiens! on a lu mon article!), c'est toujours du dépit que j'éprouve. Comment pourrait-il en être autrement?
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